L’herpès est un virus dont on ne peut pas se débarrasser. Mais pas de panique, on le maitrise très bien et ne peut pas être dangereux pour la santé, seulement très inconfortable. Le virus HSV est donc dans votre corps, et se manifeste dès que votre corps est affaibli. C’est un peu comme si votre corps maitrisait ce virus à longueur de temps sans aucun problème, mais que dès que votre corps s’occupe d’autre chose, le virus reprend le dessus. Vos défenses immunitaires mais également votre moral y jouent donc fortement. Si vous avez tendance à être stressé ou anxieux, l’herpès se fera un plaisir de venir afficher sur votre visage ou vos parties intimes votre état de désordre intérieur.
Alors comment faire ? Il est dur de lutter contre le stress et l’anxiété, tant on a tendance à penser que ce sont des états, qu’on est comme ça et qu’on ne peut rien y faire. Sachez d’abord qu’il est normal d’être stressé et que cela arrive à tout le monde. Mais ce n’est pas irrémédiable.
Différentes médecines douces, telles le yoga, le shiatsu, la sophrologie ou encore l’acuponcture peuvent vous aider à vaincre vos troubles intérieurs en vous aidant à puiser dans vos ressources intérieures. En effet, de nombreux médicaments tels des anxiolytiques, des antidépresseurs ou autres agissent directement sur votre cerveau. Mais ils vous aident à sortir d’un épisode, ne vous préviennent pas des suivants. Tandis que les médecines douces elles, vous réconcilient avec vous-même et vous aident à découvrir votre ressources positives, bien plus puissantes que vos ressources négatives qui provoquent le stress ou l’angoisse.
Faites vous donc confiance et relaxez-vous, et évitez ainsi de vilains boutons !
2.Un traitement contre l’herpès pour battre le cancer du cerveau ?
Une percée clinique potentiellement révolutionnaire pourrait bien être utilisée par la recherche d’un traitement contre le cancer du cerveau, un effet parallèle inattendu du traitement contre l’herpès Valtrex.
Le Journal D’Oncologie Clinique dévoilera sous peu des détails d’une nouvelle étude à propos des gliomes malignes, le cancer du cerveau le plus répandu.
Valtrex, un antiviral très populaire et très prescrit pour traiter en particulier l’herpès génital, aiderait à tuer un certain type de cellules cancéreuses dans le cerveau.
Connu sous le principe de mort des cellules programmées, la méthode ne détruit pas seulement les cellules cancéreuses mais également celles qui les entoure. Selon le Dr David S. Baskin, un neurochirurgien de grande renommée, et auteur de l’étude, Valtrex attaquerait le virus de l’herpès avant de terminer par les cellules cancéreuses infectée par le gène portant le virus de l’herpès simplex.
Valtrex peut aussi construire une réaction immunitaire à l’intérieur et autour des cellules cancéreuses qui ne sont pas infectées par l’herpès, les poussant à s’auto-détruire, selon le Dr Baskin, ajoutant que ce genre de traitement peut être comparé à un traitement anti-cancer sur le point d’être inventé.
La recherche, qui se déroule actuellement, a révélé qu’administrer la Valaciclovir aux pastients atteints d’une gliome maligne pourraient augmenter leur espérance de vie jusqu’à trois fois plus longtemps. Alors que la plupart des patients décèdent rapidement après s’être fait diagnostiqué, en général dans l’année suivant, les participants à l’étude ont eux, vécu 3 à 4 années décemment.
3.L’herpès fait éclater une nouvelle controverse
Les experts éprouvent des doutes quant au fait de considérer la transmission de l’herpès génital comme un mobile d’accusation d’agression sexuelle aggravée, en faisant référence au récent cas d’un homme à Toronto poursuit en justice après qu’il ait prétendument infecté sa partenaire avec l’herpès génital.
David Hogg, âgé de 35 ans, de Toronto, a été cité devant la Court après qu’il ait été mis en détention pour avoir prétendument transmis le virus simplex de l'herpès génital à sa partenaire.
L’accusation principale retenue contre D. Hogg est qu’il n’ait pas mis au courant sa partenaire de âgée de 28 ans du fait qu’il soit porteur de l’herpès génital, qui est tombé d’accord pour considérer cela comme une agression sexuelle aggravée, selon ce qu’a annoncé la police de Toronto.
Bien que Hogg revendique que sa partenaire était consentante, la dissimulation de l’information devrait être un crime assez sérieux pour que des charges soient retenues contre lui, selon ce que l’agent d epolice Tony Vella a annoncé aux informations télévisées.
Toutefois, certains experts estiment que la sentence serait trop sévère compte tenu de l’offense.
Parmi ces experts, l’avocat Patrice Band émet une objection contre le terme « aggravé ».
Un membre de l’Association des Avocats Criminels de Toronto, M. Band indique que le mot s’applique habituellement sur une action qui comprend des blessures physiques de nature cruelle, ce qui n’est pas ce que l’herpès génital peut faire à un individu.
La controverse semble avoir un peu divisé la nation, les autorités sanitaires publiques refusant de s’exprimer sur la question.